Techniques complémentaires

L’hybridation in situ fluorescente (FISH) sur des spermatozoïdes a été utilisé pour étudier l’infertilité masculine. Cependant, son application clinique a été réévaluée ces dernières années.

Commencer un traitement de procréation médicalement assistée n’est pas toujours facile. Nous devons prendre en compte les émotions et l’état vital des patientes, ce qui est très important. Il est nécessaire de comprendre qu’après avoir appris qu’il n’est pas possible de tomber enceinte naturellement, tout un processus au cours duquel les patientes doivent recevoir de nombreuses informations qui ne sont pas toujours faciles à assimiler et à comprendre, commence.

C’est l’une des principales analyses qui s’effectuent pour évaluer l’existence de tout problème de fertilité chez la femme. Avec une prise de sang, nous évaluons les principales hormones, comme: FSH, LH, prolactine, estradiol, progestérone, y hormone anti_müllerienne (AHM). Ainsi, nous pouvons explorer l’existence de problèmes hormonaux qui provoquent une altération au cycle menstruel, et connaitre l’état de la réserve ovarienne chez la femme.

De nos jours, la science nous permet d’en savoir de plus en plus sur notre génétique et cela signifie que lorsqu’il s’agit d’avoir des enfants, elle est également prise en compte. Il est de plus en plus courant d’ajouter des tests génétiques aux traitements de fertilité. Du simple caryotype aux parents, comme une étude plus détaillée de la génétique des futurs bébés.